« SOUS LE SIGNE DE SION »
MAKOM – « Identité Humaine / Identité Juive »

Présentation :

Comment permettre dans le toujours actuel d’un traumatisme abyssal un travail de deuil collectif et individuel et de liens à reconstruire à partir de ce qui s’exprime comme crise d’identité profonde, conséquence du massacre effrayant subi sur le terre même d’Israël le 7 octobre 2023, mais l’ayant peut-être aussi rendu possible, aggravant ses symptômes depuis plusieurs dizaines d’années, ayant produit, malgré une solidarité extraordinaire entre citoyens, des clivages massifs et dommageables, désagrégeant le tissu national et entamant une peau psychique groupale, rendant complexe consensus sur l’essentiel, perspectives partagées et prises de décisions? En quoi l’existant sioniste, transcendant les idéologies et les croyances totalisantes, ainsi constitutif, dans un certain rapport singulièrement universel à la judéité, d’un fonds commun, participerait-il d’un sentiment subjectif et impliqué d’une appartenance plurielle, polyphonique, au peuple Juif? Le colloque engagera une réflexion historique, politique, éthique, psycho-pathologique, interrogeant, outre les effets intergénérationnels d’un état de guerre permanent, et ceux de la disparition des pères fondateurs et des figures marquantes du sionisme, les conceptions de l’identité comme construction toujours en devenir, de la transmission comme processus et appel uchronique à l’être, et la décision renouvelée de l’Alliance dans son rapport à l’invention de la liberté responsable. Egalement sur les éléments de l’anti-sionisme, dont le rejet de l’appartenance est productrice à la fois d’identitarismes fanatiques et de meutes hypnotiques haineuses, sans histoire, ni vérité et langage.

Ce colloque à Jerusalem « Sous le signe de Sion – Identité Juive/ Identité Humaine », articule une journée de réflexion,  avec la projection du film d’Eden Levi Campana « HaTIKVA – Du fleuve à la mer », et avec l’exposition des oeuvres de Richard Kenigsman « 7-10-2023 – Larmes aux yeux …l’arme à l’épaule »

Ce colloque à Jerusalem «  Sous le signe de Sion – Identité Humaine / Identité juive », articule une journée de réflexion,  avec la projection du film d’Eden Levi Campana « HaTIKVA – Du fleuve à la mer », et avec l’exposition des oeuvres de Richard Kenigsman « 7-10-2023 – Larmes aux yeux …l’arme à l’épaule »

Intervenants : (Programme prévisionnel)

Historiens, psychanalystes, sémioticiens, philosophes, journalistes, sociologues, analystes des discours, des images, et des médias, juristes, documentaristes, cinéastes, penseurs du Judaïsme, écrivains, politologues, géo-politiciens, .

Programme : 29 octobre 2025

En attente de Boualem SANSAL

Ouverture

9:30  Michel Gad WOLKOWICZ (« Pour les juifs, la guerre commence le 8 mai 1945» – l’uchronie sioniste», Marc EISENBERG, Éric DANON («De l’Autre au Quelqu’un : pour une sortie de l’identité juive abstraite »)

Sessions 1 : L’identité en question (s). Le Sujet. Juif?  Comment ‘Ça’ fait peuple?

10:15  Georges BENSOUSSAN, Pascal BRUCKNER, Sarah Masha FAINBERG,

Président de séance et modérateur: Elie CHOURAQUI, Michel Gad WOLKOWICZ,

Session 2 : Judéité, appartenance, appel à transmettre, la transmission en question(s) : L’existant sioniste ?

11:15  Raphaël YERUSHALMI («Tsahal, ultime bastion identitaire») , Céline PINA, Philippe VAL

S/s. rés. Samuel FITOUSSI, Michaël PRAZAN

Président de séance et modérateur : Caroll AZOULAY, Maurice IFERGAN

Session 3 : Israélien/ hébreu/ juif… tailleur? Psychanalyste? Nous ça fait 2000 ans que nous parlons au Mur, Humour. 

Qu’est-ce qui constitue le trait identificatoire commun, l’édifice invisible ?  

L’entre-deux – Mémoire, tradition et création, singulier et collectif ; identification, transmission, filiation, appartenance

12:15 Antoine MERCIER, Stéphane WAHNICH, Daniel SIBONY, Yehuda MORALY («La renaissance de l’identité juive:

l’opération torch dans le miroir de l’écran et du petit écran (1943-2023)»).    

S/s.rés : Yana GRISHPUN, Jean SZLAMOWICZ, Rachel KHAN, Roni KLEIN,

Président de séance et modérateur: Emmanuelle ADDA, David SHAPIRA,

Pause

 

Session 4  : La reprise de l’Alliance et la modernité: terre( guerre)/peuple/Loi (Livre).

Histoire, Exil, Ethique, Droit, Langue : Totem et Torah,

14:00 Cyril ASLANOV (« L’hébreu, langue sioniste ? »), Françoise OUZAN (“Entre exil et revendications: les personnes déplacées juives face à la question du foyer national»), Jacques AMAR («Le sionisme est-il soluble dans le droit ?»), Judith BUCHINGER,

S/s.res. Claude KLEIN,  Dan YAFFÉ, Stéphanie BINDER,

Président de séance et modérateur: Valérie SAUL, Steve SUISSA

Session 5  : L’invention de la liberté – l’éthique de liberté responsable – Sommes-nous tous sortis d’Égypte ?

15h15 Hanna Gaëlle SEBAG SERERO, Rachel VERLIEBTER, RIVON KRYGIER

S/s. Rés. Alexis LACROIX, Renée FREGOSI,

Président de séance et modérateur: Myriam SHERMER, Daniel HAÏK

Pause

 

Session 6 : L’anti-sionisme : L’anti-judaisme en miroir de l’éthique juive.

17h Georges Elia SARFATI, Richard PRASQUIER, Dov MAÏMON & Didier LONG («La fin des juifs de France?»),  Pierre LURÇAT,

Président de séance et modérateur: Nathalie NAGAR, Thibault MOREAU

Session 7 :  Le travail de culture: de Canaan au nom d’Israel 

18h  « Wo Es war Soll Ich werden » / « Wo Canaan war, Soll Israël werden ».

Communication prophétique et Topiques Sinaïtiques

Viviane CHETRIT-VATINE, Sandrine SZWARC (« Que ta parole soit une lumière sur mon chemin – le renouveau de la pensée juive depuis la Libération »), David BANON, Francine KAUFMANN,

S/s.rés. Marc-Alain OUAKNIN, Claude BIRMAN,

Président de séance et modérateur: Jocelyn HATTAB, Sam TYANO

Propos conclusifs et Clôture : Michel Gad WOLKOWICZ

 

19h15 Pause

20h : Projection en avant-première mondiale du film « HaTIKVAH – du fleuve à la mer » réalisé par EDEN LEVI CAMPANA

HaTIKVAH – du fleuve à la mer – Eden Levi Campana

En 600 jours, le monde a vacillé. Guerre, attentats, otages, antisémitisme. En France, en Israël, au Canada, des femmes et des hommes juifs racontent comment ces événements ont bouleversé leur quotidien, leur identité, leurs liens avec l’Histoire. Un film traversé par la peur, la mémoire, la colère et la force de rester debout, portés par une idée simple : l’espoir.

Table ronde-débat

animée par Caroll AZOULAY, Antoine MERCIER, et Michel Gad WOLKOWICZ, en présence d’Eden LEVI CAMPANA : « cinéma sous le signe de Sion ». avec Caroline YADAN, Emmanuelle ADDA, Maurice IFERGAN, Myriam SHERMER, Nathalie NAGAR, Daniel HAÏK

Argument du colloque

« L’événement, 7 octobre 2023 » a créé un actuel du traumatique abyssal provoquant/révélant un trouble profond du sentiment d’intégrité et de confiance de base, singulière et collective, mettant à l’œuvre l’identité et la transmission en question(s), dont les clivages internes à la société israélienne, les malentendus entre Israël et une partie de la diaspora, les conflits au sein même des communautés juives, notamment en France. Qu’en est-il de l’édifice invisible spécifique décrit par Freud dans L’Homme Moïse, ce sol commun, Grundtön, Makom, produit de forces émotionnelles si fortes qu’elles ne peuvent être exprimées par des mots, ce qui signifie que Ça vient d’un Inconscient transmis – « phylogénétiquement » -dans la succession des générations, le peuple fossile devenu peuple témoin, passeur à la fois des héritages de l’Humanité et de l’Histoire des juifs, constitutif d’une identité intérieure, et d’un sentiment d’appartenance si fiable (comme les anglais échoués sur une île ou perdus en mer restent confiants en l’arrivée de la marine britannique), que le juif trouve la capacité de s’extraire de la masse compacte, y compris celle des siens. Que quelques soient les croyances, les idéologies, les origines, il y un reste : l’essentiel, l’attachement à une éthique de peuple, de pensée. « Nous avons un seul Dieu, et nous n’y croyons pas ! Hâté, Dieu merci ! ». L’être sioniste, reprenant le travail mis en œuvre par l’Alliance, la liberté responsable de pensée et d’action, individuelle et collective, par le choix de l’élection-élévation, de l’assomption de l’ambivalence participant de l’indéfini de la pensée, ouvrant aux champs de la métaphore, du transfert de transferts, de la dette et au registre du Symbolique, au travail de culture, ainsi formalisé: « Wo Es war, Soll Ich werden » (« Là où est Ça, Je doit advenir » (S.Freud) / « Wo Canaan war, Soll Israël werden » («Là est Canaan, Israël doit advenir» –  R. Draï) ».

La judéité se détermine dans l’appartenance au peuple Juif, transcendant les idéologies, permettant une pluralité féconde. Identité humaine, identité juive – Sous le signe de Sion, (Raphaël Draï), une façon d’être-là, l’uchronie et la transmissibilité de l’être-sioniste, une façon d’être, dans la transmission de la transmission comme processus assumant l’entre-deux, tradition et création, surdéterminé et libre-arbitre, ancien et nouveau, singulier et collectif, ce qui échappe, l’identité comme construction toujours en devenir, l’indéfini, le travail de culture, de l’Un engageant l’altérité, un peuple qui ne cesse de s’inventer, capable de peser sur son destin, y compris sur celui qu’il s’était donné, qui n’a pas besoin de détruire un autre pour exister, singulièrement universel, intriqué avec une dimension de subjectivation, et qui a retrouvé le droit à la terre et à la guerre, sionisme transcendant les idéologies, les communautarismes, dans le prolongement du Judaïsme, dans la pluralité, élisant le renouvellement de l’Alliance Terre/Peuple/Loi (Livre).

Le retour utopique des juifs à leur propre histoire. Le Juif ne serait plus un luftmensch mais un bâtisseur du temps (Heschel) ; le sionisme dépasse l’être sans destin (kertesz). Pourquoi israël est le titre d’un film de Cl. Lanzmann. L’expérience politique singulière de la nation juive démontre qu’un peuple et une loi peuvent de constituer de manière concomitante, l’un étant le témoin de l’autre. Le sionisme? Le refus de l’inappartenance, le rejet de l’exil, et l’adhésion à la Loi. L’identité étant d’abord la reconnaissance de l’appartenance… Alors comment penser ce déni, cet aveuglement, cette compulsion à la répétition de projeter uniquement les fautes, les disproportions (Hors Humanité ?), les refus sur le seul Israël, coupable essentialisé par la toute puissance fantasmatique qui lui est prêté ? Cette compulsion à la répétition, une passion, à le condamner ?

Ce colloque est dédié à Raphaël Draï et à Michaël Bar Zvi marqué, ainsi qu’il l’écrit dans son livre fondamental Éloge de la guerre après la Shoah, par la phrase de son père rescapé des camps d’extermination nazis : « La guerre pour les juifs commence le 8 mai 1945. »

Michel Gad Wolkowicz

Argument du film HATIKVAH

13 juin 2025 – Le monde retient son souffle. Alors que le soleil se lève sur une région déjà embrasée, un grondement sourd traverse les airs : Israël vient de frapper au cœur du régime iranien. C’est l’opération « Rising Lion ». Téhéran vacille, riposte, bombarde. L’escalade semble irréversible. Le Dr Bruno Lellouche fulmine ses enfants sont en Israël, lui est bloqué à Paris. Puis, l’histoire remonte 600 jours en arrière, le 7 octobre 2023. Bruno Lellouche est à Tel Aviv quand débute le massacre du shabbat noir. Il entre en action. Tous les jours, il aide. Il collecte. Il soigne. Il relie. Mais ce film n’est pas le récit d’un seul homme. C’est une traversée. Une mosaïque. Une enquête humaine, intime, politique et spirituelle, menée par la journaliste Caroll Azoulay, témoin de première ligne. Chaque rencontre, chaque situation, chaque faille est analysée en profondeur par le psychanalyste Michel Gad Wolkowicz. Il met tout le monde sur le divan : les bons, les brisés, les ambigus. Il explore les blessures visibles et invisibles, les dénis, les silences, les faux-semblants.

En 600 jours, Bruno Lellouche croise des figures majeures. À Paris, à Nice, en Israël, il tisse des liens ou monte des projets avec Caroline Yadan, Jeane Manson et Shirel, Steve Suissa, Michel Leeb. Il dialogue avec des collectifs comme Tous 7 Octobre, Elnet, The Truth, Nous Vivrons. Il entre dans les synagogues, à l’ECUJE, à la galerie Saphir, partout où bat le cœur du judaïsme français.

Autour de lui, des voix se lèvent : Ilan et Maurice Zaoui du groupe Adama, David Reinharc qui publie un livre contre l’effacement du 7 octobre, des experts, des penseurs, des éclaireurs : l’historien Georges Bensoussan, les journalistes Simon Moos, Raphaël Enthoven, Éric Naulleau, Yana Grinshpun, Yves Mamou. Des figures communautaires comme Ariel Goldmann, Arié Bensemhoun, Marc Eisenberg. Tous livrent une parole rare, frontale, sans filtre et parfois antinomique.

Et pendant ce temps, la rue gronde. Bruno Lellouche traverse la montée de l’antisémitisme en France, les slogans de haine, l’instrumentalisation du conflit par l’extrême gauche, le viol d’une jeune fille parce que juive. Il soutient un enfant de 12 ans enlevé, revenu des tunnels de Gaza, brisé ou encore un père dont le fils est assassiné alors qu’otage du Hamas. Le film devient alors un miroir de la France, d’Israël, de la diaspora. De ce que l’on voit et de ce que l’on refuse de voir. « HaTIKVAH – du fleuve à la mer », c’est l’histoire d’un peuple, d’un espoir. Un peuple dispersé, blessé, debout. Et une question, tissée à travers chaque témoignage, chaque regard, chaque silence : « qu’est-ce qu’être Juif aujourd’hui ? 

Eden Lévi Campana

Comité d’organisation

Michel Gad WOLKOWICZ, Caroll AZOULAY, Thibault MOREAU, Eden LEVI CAMPANA, et les Comités Schibboleth – Actualité de Freud, Sam TYANO, Colette LEINMAN, Ilan TREVES, Michel GRANEK, Jean-Lou REPELSKI, Sabine AIACHE, Nathalie ELMALIH, Jean-Jacques MOSCOVITZ, Jean-Pierre WINTER, Viviane CHETRIT-VATINE, Ann-Belinda PREIS, Patrick BANTMAN, André ABOULKHEIR, Claude BIRMAN,, Jacques WROBEL, Marc COHEN, Sylvie MEHAUDEL,..

  Avec
ActuJ Israël, IsraJ, MOSAÏQUES,  BEGIN HERITAGE CENTER, FONDATION ADELIS

Participation aux frais & réservations

Participation aux frais & réservations au The Menahem Begin Heritage Center :

• Journée :    200 sh /  50 Euros
• Soirée :    100sh   / 25  Euros
• Forfait :     280 sh  /  70 Euros
• Militaires : entrée libre
• Étudiants de moins de 26 ans : demi-tarif

Participants

Caroll AZOULAY (journaliste, directrice d’ Actualité Juive magazine Israël, et d’IsraëJ ), Eden LÉVI-CAMPANA  (documentariste, cinéaste),  Michel Gad WOLKOWICZ (psychanalyste, universitaire, président de Schibboleth-Actualité de Freud), Pascal BRUCKNER (philosophe, écrivain, membre de l’Académie Goncourt), Marc EISENBERG (Président de Qualitat, de RadioJ, d’ActuJ), Eric DANON (ancien Ambassadeur de France en Israël), Sandrine SZWARC (responsable du programme à l’Institut Universitaire Elie Wiesel, enseignante à la Sorbonne, historienne de la pensée juive)), Georges BENSOUSSAN (historien), Caroline YADAN (avocate, Députée de la circonscription des français de l’étranger), Philippe VAL (écrivain, éditorialiste, ancien directeur de Charlie Hebdo et de France Inter), Sarah Masha FAINBERG (universitaire TLV, sciences politiques et de défense), Michaël PRAZAN (cinéaste, écrivain, documentariste), Raphaël YERUSHALMI, Céline PINA, Georges Elia SARFATI (linguiste, philosophe, universitaire, pdt de psychanalyse existentielle), Samuel FITOUSSI (essayiste, journaliste), Elie CHOURAQUI (cinéaste), Maurice IFERGAN (journaliste), Daniel SIBONY (psychanalyste, écrivain), Yana GRISHPUN (linguiste, universitaire), Jean SZLAMOWICZ Professeur, linguiste, sémiologue), Roni KLEIN (universitaire, historien du sionisme), Marc-Alain OUAKNIN (rabbin, philosophe, artiste, producteur de Talmudiques), David SHAPIRA (historien), Emmanuelle ADDA (journaliste), Antoine MERCIER (journaliste), directeur de Mosaïques), Rachel KHAN (essayiste, juriste), Claude KLEIN (Professeur Émérite de Droit), Jacques AMAR (juriste, sociologue), Judith BUCHINGER (avocate, pdt des amis de Jonathan Sacks), Cyril ASLANOV (Professeur de linguistique, Institut universitaire de France), Steve SUISSA (metteur en scène, cinéaste), Valérie SAUL (Fondation France-Israël), Renée FREGOSI (politologue), Richard PRASQUIER (cardiologue, essayiste, ancien président du Crif, Président honoraire du Keren Hayessod) , Hanna Gaëlle SEBAG SERERO (Pensée juive, Université Bar Ilan), Alexis LACROIX (journaliste, directeur de radio J et de Actualité Juive, essayiste), Rachel VERLIEBTER (universitaire, Bar Ilan), Pierre LURÇAT (historien), RIVON KRYGIER (rabbin Massorti), Daniel HAÏK (journaliste), Myriam SHERMER (journaliste), Stéphane WAHNICH (communiquant, essayiste), David BANON (Professeur Émérite, histoire juive), Stéphanie BINDER (universitaire, historienne), Dov MAÏMON (responsable de l’Allyah) Didier LONG (essayiste), Nelly SOUSSAN (essayiste), Thibault MOREAU (psychanalyste, vice pdt de Schibboleth), Viviane CHETRIT-VATINE (présidente de la Société de psychanalyse d’Israël), Yehuda MORALY (Professeur Émérite d’études théâtrales, Jerusalem), Françoise OUZAN (Historienne), Francine KAUFMANN (Prof. Émérite, traduction et culture), Dan YAFFÉ (professeur Bar Ilan, historien), Jocelyn HATTAB (psychiatre, psychanalyste), Sam TYANO (Professeur Émérite de psychiatrie), Richard KENIGSMAN (artiste peintre), Evelyne CHAUVET (psychiatre, psychanalyste), Colette LEINMAN (universitaire, peintre, écrivaine), Daniel DAYAN (Prof. d’analyse des médias), Céline PINA, Valérie ABÉCASSIS (journaliste), Daniel MILMAN (psychologue, psychanalyste), Ilan TREVES (psychiatre, psychanalyste), Michel GRANEK (psychiatre, psychanalyste), Jean-Lou REPELSKI (études hellénistes), Sabine AIACHE (Chargée de communication, Institut Français d’Israël), Nathalie ELMALIH (psychologue, WIZO), Jean-Jacques MOSCOVITZ (psychanalyste), Jean-Pierre WINTER (psychanalyste), Ann-Belinda PREIS (anthropologue, ancienne responsable du dialogue interculturel à l’Unesco), Patrick BANTMAN (psychiatre, thérapeute de couple), André ABOULKHEIR (médecin anesthésiste, psychosomaticien, Claude BIRMAN (Professeur de pensée juive),, Jacques WROBEL (amédecin-nesthésiste, spécialiste de la douleur), Marc COHEN (gériatre), Sylvie MEHAUDEL (psychiatre, psychanalyste), François RICHARD (Professeur Émérite de psychopathologie, psychanalyste), Nathalie NAGAR (journaliste, chroniqueuse).