Marc-Alain Ouaknin: « Israël on the rooves », in « Yerushalaim, En attendant l’aurore » sculptures ; © Marc-Alain Ouaknin.
Marc-Alain Ouaknin: « Israël on the rooves », in « Yerushalaim, En attendant l’aurore » sculptures ; © Marc-Alain Ouaknin.
COLLOQUE SCHIBBOLETH – ACTUALITÉ DE FREUD
Sous la direction de Michel Gad WOLKOWICZ,
Président de Schibboleth – Actualité de Freud
Chères amies et chers amis,
Dans l’attente pour cet événement important de votre présence précieuse.
Michel Gad WOLKOWICZ
Comment permettre dans le toujours actuel d’un traumatisme abyssal un travail de deuil collectif et individuel et de liens à reconstruire à partir de ce qui s’exprime comme crise d’identité profonde, conséquence du massacre effrayant subi sur la terre même d’Israël le 7 octobre 2023, mais l’ayant peut-être aussi rendu possible, aggravant ses symptômes depuis plusieurs dizaines d’années, ayant produit, malgré une solidarité extraordinaire entre citoyens, des clivages massifs et dommageables, désagrégeant le tissu national et entamant une peau psychique groupale, rendant complexe consensus sur l’essentiel, perspectives partagées et prises de décisions ? En quoi l’existant sioniste, transcendant les idéologies et les croyances totalisantes, ainsi constitutif, dans un certain rapport singulièrement universel à la judéité, d’un fonds commun, participerait-il d’un sentiment subjectif et impliqué d’une appartenance plurielle, polyphonique, au peuple Juif ? Le colloque engagera une réflexion historique, politique, éthique, psycho-pathologique, interrogeant, outre les effets intergénérationnels d’un état de guerre permanent, et ceux de la disparition des pères fondateurs et des figures marquantes du sionisme, les conceptions de l’identité comme construction toujours en devenir, de la transmission comme processus et appel uchronique à l’être, et la décision renouvelée de l’Alliance dans son rapport à l’invention de la liberté responsable. Également sur les éléments de l’anti-sionisme, dont le rejet de l’appartenance est productrice à la fois d’identitarismes fanatiques et de meutes hypnotiques haineuses, sans histoire, ni vérité et langage.
Ce colloque à Jerusalem « Sous le signe de Sion ». Identité humaine, identité juive. Du 7 octobre 2023 à octobre 2025…, articule une journée de réflexion, avec la projection du film d’Eden Levi Campana HaTIKVA – Du fleuve à la mer, et avec l’exposition des œuvres de Richard Kenigsman intitulée 7-10-2023. Larmes aux yeux… l’arme à l’épaule…
Historiens, psychanalystes, sémioticiens, philosophes, journalistes, sociologues, analystes des discours, des images et des médias, juristes, documentaristes, cinéastes, penseurs du judaïsme, écrivains, politologues, géo-politiciens…
En attente de Boualem SANSAL
Michel Gad WOLKOWICZ [« Pour les Juifs, la guerre commence le 8 mai 1945 » – l’uchronie sioniste], Marc EISENBERG, Éric DANON [De l’Autre au Quelqu’un : pour une sortie de l’identité juive abstraite]
Georges BENSOUSSAN, Sarah Masha FAINBERG[Entre solitude et autonomie : repenser la souveraineté d’Israël après le 7 octobre], Daniel SAADA [Haine d’Israël, Défense d’Israël], Pascal BRUCKNER (sosu réserve)
Président de séance et modérateur : Michel Gad WOLKOWICZ, Elie CHOURAQUI, René FRYDMAN
Raphaël JERUSALMY [Tsahal, ultime bastion identitaire], Céline PINA, Philippe VAL, Évelyne CHAUVET [La question de l’idéal dans la dépression et dans le ressentiment]
Président de séance et modérateur : Caroll AZOULAY, Maurice IFERGAN
Antoine MERCIER [7 octobre : de la guerre des Juifs à la guerre des Hébreux], Stéphane WAHNICH, Daniel SIBONY, Yehuda MORALY [La renaissance de l’identité juive : l’opération torch dans le miroir de l’écran et du petit écran (1943-2023)]
Président de séance et modérateur : Emmanuelle ADDA, Jean-Lou REPELSKI
Cyril ASLANOV [L’hébreu est-il une langue sioniste ?], Françoise OUZAN [Entre exil et revendications : les personnes déplacées juives face à la question du foyer national], Jacques AMAR [Le sionisme est-il soluble dans le droit ?], Judith BUCHINGER
Président de séance et modérateur : Valérie SAUL, Patrick BANTMAN
Hanna Gaëlle SEBAG SERERO [Netsah Israël Lo Yechaker : le prix à payer pour l’Éternité], Rachel VERLIEBTER [Mère Sion blessée : Représentations du Féminin Divin dans l’exposition La Gazelle de l’Aurore], Rivon KRYGIER [La liberté d’interpréter ou comment le judaïsme s’émancipe du fondamentalisme]
Président de séance et modérateur : Daniel HAÏK, Myriam SHERMER
Georges Elia SARFATI [Le décolonialisme à l’épreuve du sionisme], Dov MAÏMON & Didier LONG [La fin des Juifs de France ?], Pierre LURÇAT
Président de séance et modérateur : David REINHARC, Yves MAMOU
Viviane CHETRIT-VATINE [Au cœur d’un espace pour l’ autre et d’un temps pour l’autre : De Canaan à Israël], Sandrine SZWARC (« Que ta parole soit une lumière sur mon chemin – le renouveau de la pensée juive depuis la Libération »), David BANON, Francine KAUFMANN [Sémantique idéologique et récits nationaux : qui suis-je aujourd’hui dans le regard de l’AUTRE ?], Claude BIRMAN [Persévérance du Peuple juif, reliant Loi du Ciel et vie sur Terre]
Président de séance et modérateur : Thibault MOREAU, Jocelyn HATTAB
Michel Gad WOLKOWICZ
En 700 jours, le monde a vacillé. Guerre, attentats, otages, antisémitisme : une onde de choc qui traverse continents et générations. De Paris à Jérusalem, de Toronto aux foyers dispersés de la diaspora, des femmes et des hommes juifs racontent comment ces événements ont bouleversé leur vie, leur identité, leur lien à l’Histoire. Au cœur de leurs récits, une question brûlante : qu’est-ce qu’être Juif après le 7 octobre ? Entre peur et mémoire, colère et résilience, ce film dresse le portrait d’un peuple qui transforme la douleur en force, et la force en un espoir inaltérable. Mais à quel prix ?
Table ronde-débat en présence d’Eden LEVI CAMPANA : « cinéma sous le signe de Sion », animée par Caroll AZOULAY, Antoine MERCIER, et Michel Gad WOLKOWICZ, avec Bruno LELLOUCHE, Jean-Jacques MOSCOVITZ, Emmanuelle ADDA, Maurice IFERGAN, Myriam SHERMER, Yaël BORNSTEIN, Daniel HAÏK, Francky PEREZ, David SHAPIRA
Caroline Yadan
« L’événement, 7 octobre 2023 » a créé un actuel du traumatique abyssal provoquant/révélant un trouble profond du sentiment d’intégrité et de confiance de base, singulière et collective, mettant à l’œuvre l’identité et la transmission en question(s), dont les clivages internes à la société israélienne, les malentendus entre Israël et une partie de la diaspora, les conflits au sein même des communautés juives, notamment en France. Qu’en est-il de l’édifice invisible spécifique décrit par Freud dans L’Homme Moïse, ce sol commun, Grundtön, Makom, produit de forces émotionnelles si fortes qu’elles ne peuvent être exprimées par des mots, ce qui signifie que Ça vient d’un Inconscient transmis – « phylogénétiquement » – dans la succession des générations, le peuple fossile devenu peuple témoin, passeur à la fois des héritages de l’Humanité et de l’Histoire des Juifs, constitutif d’une identité intérieure, et d’un sentiment d’appartenance si fiable (comme les anglais échoués sur une île ou perdus en mer restent confiants en l’arrivée de la marine britannique), que le Juif trouve la capacité de s’extraire de la masse compacte, y compris celle des siens. Que quelques soient les croyances, les idéologies, les origines, il y un reste : l’essentiel, l’attachement à une éthique de peuple, de pensée. « Nous avons un seul Dieu, et nous n’y croyons pas ! Athées, Dieu merci ! ». L’être sioniste, reprenant le travail mis en œuvre par l’Alliance, la liberté responsable de pensée et d’action, individuelle et collective, par le choix de l’élection-élévation, de l’assomption de l’ambivalence participant de l’indéfini de la pensée, ouvrant aux champs de la métaphore, du transfert de transferts, de la dette et au registre du Symbolique, au travail de culture, ainsi formalisé : « Wo Es war, Soll Ich werden », « Là où est Ça, Je doit advenir » (S. Freud) ; « Wo Canaan war, Soll Israël werden », «Là où est Canaan, Israël doit advenir» (R. Draï).
La judéité se détermine dans l’appartenance au peuple Juif, transcendant les idéologies, permettant une pluralité féconde. Identité humaine, identité juive – Sous le signe de Sion, (Raphaël Draï), une façon d’être-là, l’uchronie et la transmissibilité de l’être-sioniste, une façon d’être, dans la transmission de la transmission comme processus assumant l’entre-deux, tradition et création, surdéterminé et libre-arbitre, ancien et nouveau, singulier et collectif, ce qui échappe, l’identité comme construction toujours en devenir, l’indéfini, le travail de culture, de l’Un engageant l’altérité, un peuple qui ne cesse de s’inventer, capable de peser sur son destin, y compris sur celui qu’il s’était donné, qui n’a pas besoin de détruire un autre pour exister, singulièrement universel, intriqué avec une dimension de subjectivation, et qui a retrouvé le droit à la terre et à la guerre, sionisme transcendant les idéologies, les communautarismes, dans le prolongement du Judaïsme, dans la pluralité, élisant le renouvellement de l’Alliance Terre/Peuple/Loi (Livre).
Le retour utopique des Juifs à leur propre histoire. Le Juif ne serait plus un luftmensch mais un bâtisseur du temps (Heschel) ; le sionisme dépasse l’être sans destin (Kertesz). Pourquoi Israël est le titre d’un film de Cl. Lanzmann. L’expérience politique singulière de la nation juive démontre qu’un peuple et une loi peuvent de constituer de manière concomitante, l’un étant le témoin de l’autre. Le sionisme? Le refus de l’inappartenance, le rejet de l’exil, et l’adhésion à la Loi. L’identité étant d’abord la reconnaissance de l’appartenance… Alors comment penser ce déni, cet aveuglement, cette compulsion à la répétition de projeter uniquement les fautes, les disproportions (Hors Humanité ?), les refus sur le seul Israël, coupable essentialisé par la toute puissance fantasmatique qui lui est prêtée ? Cette compulsion à la répétition, une passion, à le condamner ?
Ce colloque est dédié à Raphaël Draï et à Michaël Bar Zvi marqué, ainsi qu’il l’écrit dans son livre fondamental Éloge de la guerre après la Shoah, par la phrase de son père rescapé des camps d’extermination nazis : « La guerre pour les Juifs commence le 8 mai 1945. »
Michel Gad Wolkowicz
En 700 jours, le monde a vacillé. Guerre, attentats, otages, antisémitisme : une onde de choc qui traverse continents et générations. De Paris à Jérusalem, de Toronto aux foyers dispersés de la diaspora, des femmes et des hommes juifs racontent comment ces événements ont bouleversé leur vie, leur identité, leur lien à l’Histoire. Au cœur de leurs récits, une question brûlante : qu’est-ce qu’être Juif après le 7 octobre ? Entre peur et mémoire, colère et résilience, ce film dresse le portrait d’un peuple qui transforme la douleur en force, et la force en un espoir inaltérable. Mais à quel prix ?
SCÉNARIO
Le film documentaire HaTIKVAH – Du fleuve à la mer et sa suite HaTIKVAH – Israël, Juif des Nations forment un diptyque qui suit, sur 700 jours, un large panel de témoins – une soixantaine de personnes – dont le parcours éclaire une question brûlante : qu’est-ce qu’être Juif après le 7 octobre ?
HaTIKVAH – Du fleuve à la mer, le premier volet débute le 13 juin 2025, au cœur de la guerre des Douze Jours, puis remonte au 7 octobre 2023. Ce retour en arrière permet de suivre Bruno Lellouche et d’autres figures, en France, en Israël et dans la diaspora, avec un focus sur les Juifs de France, troisième communauté juive au monde. Le récit alterne scènes de terrain, paroles intimes et analyses, montrant comment ces trajectoires personnelles s’entrelacent avec l’histoire collective. Ce premier film s’attache particulièrement à décrypter l’instrumentalisation du conflit du Moyen-Orient par l’extrême gauche française, à travers discours, manifestations et interviews exclusives.
HaTIKVAH – Israël, Juif des Nations, le second volet prolonge l’enquête en retrouvant ces protagonistes, tout en intégrant de nouveaux visages en France et à l’étranger. Il met en lumière l’ostracisation croissante d’Israël sur la scène internationale et ses répercussions sur les Juifs de France, dont beaucoup envisagent un départ vers Israël. La reconnaissance de l’État de Palestine par le président Emmanuel Macron y est analysée dans ses implications mondiales et dans ses effets concrets sur les liens entre Israël et la diaspora française.
Dans les deux films, le 7 octobre agit comme une déflagration initiale, laissant en arrière-plan constant deux combats essentiels : faire face à la montée de l’antisémitisme et assurer la sécurité d’Israël, tout en rappelant la guerre au Moyen-Orient et la détention des otages dans les tunnels de Gaza.
Eden Levi Campana
Michel Gad WOLKOWICZ, Caroll AZOULAY, Thibault MOREAU, Eden LEVI CAMPANA, et les Comités Schibboleth – Actualité de Freud, Sam TYANO, Colette LEINMAN, Jocelyn HATTAB, Jean-Lou REPELSKI, Nathalie ELMALIH, Jean-Jacques MOSCOVITZ, Jean-Pierre WINTER, Patrick BANTMAN, André ABOULKHEIR, Claude BIRMAN, Jacques WROBEL, Marc COHEN, Ruth ABOULKHEIR
Participation
• sur place (incluant : vernissage, journée colloque, projection du film-table ronde) ; contribution demandée :
– 280 NIS, 70 Euros pour une personne ; 500 NIS, 125 Euros pour un couple ;
– militaires : entrée libre ;
– étudiants de moins de 26 ans : 120 NIS, 30 Euros ;
• par visiophonie (via ZOOM, sans accès à la projection du film) ; contribution demandée :
– 180 NIS, 45 Euros; étudiants de moins de 26 ans 80 shekel ou 20 euros
Inscription
si règlement en shekels NIS, joindre l’adresse : https://did.li/BeginSchibboleth29-10 ou, par téléphone, au : +972 2-565-2020
si règlement en Euros, écrire à secretariat@schibboleth.fr et joindre cette page
Renseignements
+972 2-565-2020 ; www.begincenter.org.il
ou
secretariat@schibboleth.fr
Avec
ActuJ Israël, IsraJ, MOSAÏQUES, BEGIN HERITAGE CENTER, FONDATION ADELIS
Dans le cadre du colloque :
Invitation à l’exposition
7-10-2023 – Larmes aux yeux… l’arme à l’épaule…
œuvres de Richard KENIGSMAN
VERNISSAGE
Mardi 28 octobre 2025, 18h, au The Menachem Begin Heritage Center Jerusalem,
Sh.A. Nakhon St 6, Jerusalem, 9411014
avec Richard KENIGSMAN, Caroll AZOULAY, Michel Gad WOLKOWICZ, Évelyne CHAUVET, Colette LEINMAN, Sandrine SZWARC, Thibault MOREAU, Daniel MILMAN
Caroll AZOULAY (journaliste, directrice d’Actualité Juive magazine Israël, et d’IsraJ ), Eden LEVI CAMPANA (documentariste, cinéaste), Michel Gad WOLKOWICZ (psychanalyste, universitaire, président de Schibboleth – Actualité de Freud), Pascal BRUCKNER (philosophe, écrivain, membre de l’Académie Goncourt), Marc EISENBERG (Président de Qualita, RadioJ, ActuJ), S. E. Éric DANON (ancien Ambassadeur de France en Israël), S. E. Daniel SAADA (ancien Ambassadeur d’Israël en France), Sandrine SZWARC (responsable du programme à l’Institut Universitaire Elie Wiesel, enseignante à la Sorbonne, historienne de la pensée juive), Georges BENSOUSSAN (historien), Caroline YADAN (avocate, députée de la circonscription des Français de l’étranger), Philippe VAL (écrivain, éditorialiste, ancien directeur de Charlie Hebdo et de France Inter), Sarah Masha FAINBERG (universitaire, TLV, sciences politiques et de défense), Raphaël JERUSALMY (ancien officier des Renseignements, écrivain, chroniqueur, LCI, i24 news), Céline PINA (politiste, essayiste, CNews, Causeur, etc.), Georges Elia SARFATI (Professeur des universités, linguiste, philosophe, psychanalyste, directeur de l’École française d’analyse et de thérapie existentielles (Logothérapie) V. Frankl), Elie CHOURAQUI (cinéaste), Maurice IFERGAN (journaliste, i24), Daniel SIBONY (psychanalyste, écrivain), David SHAPIRA (historien), Emmanuelle ADDA (journaliste, RadioJ), Antoine MERCIER (journaliste, directeur de Mosaïques), Jacques AMAR (juriste, sociologue), Judith BUCHINGER (avocate, pdt des amis de Jonathan Sacks), Cyril ASLANOV (Professeur de linguistique, Institut universitaire de France), Steve SUISSA (metteur en scène, cinéaste), Valérie SAUL (Fondation France-Israël), Hanna Gaëlle SEBAG SERERO (Pensée juive, Université Bar Ilan), Alexis LACROIX (journaliste, directeur de RadioJ et de Actualité Juive, essayiste), Rachel VERLIEBTER (universitaire, Bar Ilan), Pierre LURÇAT (historien), Rivon KRYGIER (rabbin Massorti), Daniel HAÏK (journaliste, RadioJ, Qualita), Myriam SHERMER (journaliste, i24), Stéphane WAHNICH (communiquant, essayiste), David BANON (Professeur Émérite, histoire juive), Dov MAÏMON (responsable de l’Allyah), Didier LONG (essayiste), Thibault MOREAU (psychanalyste, vice pdt de Schibboleth), Viviane CHETRIT-VATINE (présidente de la Société de psychanalyse d’Israël), Yehuda MORALY (Professeur Émérite d’études théâtrales, Jerusalem), Françoise OUZAN (Historienne), Francine KAUFMANN (Prof. Émérite, traduction et culture), Jocelyn HATTAB (psychiatre, psychanalyste), Sam TYANO (Professeur Émérite de psychiatrie), Richard KENIGSMAN (artiste peintre), Évelyne CHAUVET (psychiatre, psychanalyste), Colette LEINMAN (universitaire, peintre, écrivaine), Jean-Lou REPELSKI (Université TEL AVIV, Analyse des discours, études hellénistes), Jean-Jacques MOSCOVITZ (psychanalyste), Jean-Pierre WINTER (psychanalyste), Ann-Belinda PREIS (anthropologue, ancienne responsable du dialogue interculturel à l’Unesco), Patrick BANTMAN (psychiatre, thérapeute de couple), Claude BIRMAN (Professeur de pensée juive), Yaël BORNSTEIN (radio Kan), Francky PEREZ (journaliste, chroniqueur, i24), Bruno LELLOUCHE (Chirurgien, Association NETSAH), Marc-Alain OUAKNIN (rabbin, Professeur des Universités, philosophe, artiste), Yves MAMOU (journaliste, essayiste), David REINHARC (éditions David Reinharc), Daniel MILMAN (psychologue Ph. D., psychanalyste), Steve OHANA (entrepreneur, essayiste), Ruth ABOULKHEIR (gynécologue), Sylvie MÉHAUDEL (psychiatre, psychanalyste), Marc COHEN (médecin gériatre), Jacques WROBEL (médecin réanimateur, spécialiste de la douleur), Nathalie ELMALIH (psychanalyste, WIZO)
.