4ème séance du séminaire «Figures et scènes de l’actualité»
4ème Séance | Jeudi 29 février 2024
7 octobre 2023
La neutralité en question(s) ?
sous la présidence de
Michel Gad WOLKOWICZ
psychanalyste (APF) ; professeur ass./visiting professor, Psychopathologie (Universités de Paris Sud, Tel Aviv, Glasgow) ; président de : l’Association Internationale Schibboleth – Actualité de Freud & The Interdisciplinary Institute Schibboleth – Presence of Freud מכון אינטר-דיסציפלינרי שיבולת , נוכחותו של פרויד ; auteur, entre autres, de : La transmission en question(s) (dir.) (In Press, 2020) ; L’identité en question(s) – Qu’est-ce qu’un peuple ? / Le Sujet Juif (dir.) (In Press, 2022) ; L’Affaire Sarah Halimi ou l’éradication du sujet (dir.)(Éditions David Reinharc, 2022)
sous la présidence de
Michel Gad WOLKOWICZ
psychanalyste (APF) ; professeur ass./visiting professor, Psychopathologie (Universités de Paris Sud, Tel Aviv, Glasgow) ; président de : l’Association Internationale Schibboleth – Actualité de Freud & The Interdisciplinary Institute Schibboleth – Presence of Freud מכון אינטר-דיסציפלינרי שיבולת , נוכחותו של פרויד ; auteur, entre autres, de : La transmission en question(s) (dir.) (In Press, 2020) ; L’identité en question(s) – Qu’est-ce qu’un peuple ? / Le Sujet Juif (dir.) (In Press, 2022) ; L’Affaire Sarah Halimi ou l’éradication du sujet (dir.)(Éditions David Reinharc, 2022)
Intervenants
Michel Gad WOLKOWICZ
psychanalyste
Michaël PRAZAN
cinéaste, écrivain
Alexis LACROIX
philosophe, directeur d’Actualité Juive
Frédéric ENCEL
géopolitologue, professeur de Sciences Politiques
Céline PINA
philosophe, journaliste
Evelyne CHAUVET
psychanalyste
Daniel DAYAN
analyste des médias et des images
avec la participation de
Jean-Pierre WINTER (psychanalyste), Jean-Jacques MOSCOVITZ (psychanalyste), Richard KENIGSMAN (artiste peintre)…
Le 7 octobre 2023, les terroristes palestiniens génocidaires se sont filmés en exécutant les pires massacres de masse, le carnage le plus épouvantable sur chacune des 1400 victimes israéliennes, depuis la Shoah par les nazis, et les pogroms les plus terrifiants de Russie, de Pologne, d’Ukraine, et ils ont diffusé les images de leur jouissance triomphale signant leur toute-puissance narcissique érotisée, de terreur et d’emprise sur l’autre, sur le psychique, sur le monde.
Quels effets d’effroi, de fascination, de déni, de désaveu, de jouissance perverse, ou d’intégration de la réalité ? Quel intérêt historique, psychologique, pédagogique, éthique, y a-t-il à montrer, à proposer, voir à imposer le film ? Quels en sont les risques ?
Et si on le montre, en retirer les images, les plus crues en tout cas, des sévices sexuels ?
À qui ? Pour qui ? Pour quoi ?
Et le rapport au traumatisme, absolu, inédit, abyssal ? Honte ? Élaboration ? Lien singulier/collectif ?